• Pour la première fois, découvrez dans ce classement exclusif les jeunes entreprises innovantes qui ont le plus la cote, jugées par les salariés eux-mêmes.

    Baby-foot, table de ping­ pong, poufs et décor design … Longtemps, les start-up, ces jeunes entreprises innovantes à forte croissance, se sont vantées d’offrir des conditions de travail plus agréables qu’une entreprise classique. Des bureaux cool, c’est bien, mais cela ne suffit pas pour être sûr d’intégrer une société capable de proposer des perspectives de carrières intéressantes, une rémunération attractive ou encore un management de qualité. C’est tout l’inté­rêt de cette enquête réalisée avec l’institut Statista: aller au-delà des beaux discours et dénicher les start-up qui sont réelle­ment de bons employeurs. Pour cela, nous n’avons pas opté pour un sondage auprès des Français ( ces jeunes pousses n’ont pas toutes une grande notoriété) ; nous avons préféré étudier ce qui se disait d’elles sur les réseaux sociaux. Les experts appellent cela le «social listening». En complétant avec les avis personnels postés par les sa­lariés sur le Web et des données plus quan­titatives (lire la méthodologie ci-dessous), nous sommes ainsi parvenus à une liste de 400 noms, présentés ici par ordre alphabé­tique. Le bilan? La taille des effectifs n’in­flue guère sur la notation. La preuve avec le vainqueur, Troops, un éditeur de logiciels RH lyonnais d’une soixantaine de salariés. Depuis 2020, toute l’équipe est passée au télétravail intégral. Cela a l’air de plaire.

    Bruno DECLAIREUX

  • La méthode de l’enquête 

    Ce palmarès inédit a été réalisé en partenariat avec Statista, un institut réputé pour son expertise dans l’analyse des données économiques. Il récompense 400 start-up sur une base de 4000, sélectionnées selon leur date de création (entre 2072 et 2079), leur taille (au moins 10 salariés au début de cette année) et leur mode de fonctionnement. Les nouvelles filiales de groupe n’ont ainsi pas été retenues. En revanche, les sociétés rachetées ont été conservées tant que leur indépendance de structure était maintenue. La note finale a été établie en prenant en compte trois indicateurs, pondérés de façon identique: la réputation de l’entreprise sur les réseaux sociaux, les médias en ligne ou les blogs (social listening); les avis de ses salariés donnés sur les principales plateformes d’évaluation en ligne; et sa croissance, mesurée par le nombre d’offres d’emploi en ligne, l’évolution du trafic sur son site Web et, quand l’information était disponible, la hausse de ses effectifs.